Nom du blog :
terminalstlbgbvarok
Description du blog :
Catégorie :
Blog Sciences
Date de création :
08.09.2009
Dernière mise à jour :
27.02.2010
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merci beaucoup pour le résumé de coure l'immunité non spécifiquehtt p://3anabou.ce nterblog.net
Par jouahri abdou , le 19.03.2011
juste une petite rectification, pili ne prend pas de s au pluriel !!! on dit un pilus et des pili !!!
Par Anonyme, le 27.10.2010
CHAPITRE III : La réponse immunitaire non spécifique
I- Les barrières cutanéo-muqueuses
Les barrières cutanéo-muqueuses sont des barrières physiques, chimiques et biologiques.
1 – Barrières physiques
a- La peau
La peau est constituée d’un épithélium de revêtement stratifié et kératinisée (kératine = protéine) ce qui la rend imperméable à la plupart des germes et des micro-organismes. De plus il y a une desquamation, qui est un mécanisme qui élimine régulièrement les cellules mortes.
b- Les muqueuses
Une muqueuse est un épithélium de revêtement humide tapissant des cavités de l’organisme, exemple des muqueuses respiratoire, qui possèdent un balayage grâce aux cils et le mécanisme de la toux élimine les micro-organismes emprisonnés dans le mucus.
2 – Barrières biochimiques
a- La peau
Il y a production de sébum et de sueur qui est une action bactéricide et antifongique, de plus la sueur possède un pH acide.
b- Les muqueuses
La salive contient du lysozyme, elle est riche en Ig A (Ac), (Immunoglobuline A), elle contient également de la mucine. Au niveau de l’estomac, il y a une forte acidité, de 2 à 4, ce qui limite le développement des bactéries, le pH de l’estomac est dû à l’acide chlorhydrique. Au niveau de l’intestin, il y a de la bile, des sucs pancréatiques et des Ig A.
Au niveau des alvéoles pulmonaires, il y a des lysozymes, des Ig G et des macrophages.
3 – Barrières biologiques
Les flores commensales de l’organisme sont très importantes car il y a compétition pour la place et les nutriments, et elles peuvent produire des molécules toxiques pour d’autres micro-organismes. Fig 1
II- La réaction inflammatoire
S’il y a lésion des barrières cutanéo-muqueuses, les micro-organismes peuvent passer dans l’organisme et déclencher une réaction inflammatoire. La réaction inflammatoire peut être déclenchée dès que les tissus sont atteint par un traumatisme physique, par une brulure, une irritation ou une infection.
Les quatre signes cliniques qui caractérisent une réaction inflammatoire sont :
- douleur
- rougeur
- chaleur
- œdème
1- Les facteurs impliqués
Ce sont soit des facteurs plasmatiques soit des facteurs tissulaires produit par les globules blancs et les plaquettes ex l’histamine (libérée par les GB) qui participe à la vasodilatation (rougeur, chaleur), les kinines et la sérotonine participent au chimiotactisme (molécules attirent des cellules phagocytaires), le fibrinogène (facteur plasmatique) coagule dans les vaisseaux ce qui isole la zone infectée. Fig 2 et 3
2 – Les conséquences de la réaction inflammatoire
La réaction inflammatoire grâce au chimiotactisme attire les cellules phagocytaires, la réaction inflammatoire produit un caillot qui empêche la propagation des toxiques (élément étranger) dans les tissus voisins. Il y aura présence de GB dans le liquide interstitiel.
III- La phagocytose
La phagocytose est réalisée par les macrophages et les granulocytes neutrophiles. La phagocytose est un phénomène d’endocytose au cours duquel des particules sont ingérés puis digérées grâce à des enzymes hydraulitiques à l’intérieur d’une cellule phagocytaire.
1 – Mobilisation phagocytaire
Voir fig 4
Il y a 4 étapes :
- Libération des cellules phagocytaires par la moelle
- Margination : accrochage à l’endothélium vasculaire
- Diapédèse : traversée de l’endothélium des capillaires sanguins
- Chimiotactisme positif : attirance par un gradient de concentration des molécules libérée lors de l’inflammation des cellules phagocytaires
2- Les étapes de la phagocytose
Voir fig 5
La phagocytose se fait en 4 étapes :
- L’attraction
- L’adhésion
- L’injection : endocytose la cellule entoure la bactérie avec ses pseudopes formés par la membrane cytoplasmique.
- La digestion intracellulaire : la vacuole d’endocytose (=phagosome) fusion avec les lysosomes pour former le phagolysosome.
La bactérie est détruite grâce aux enzymes contenues dans le lysosome.
3 – Evolution d’une infection
Voir fig 6
Lorsqu’un phagocyte a ingéré une bactérie, trois situations peuvent se produire :
- La bactérie est lysée grâce aux granulations, la phagocytose est efficace, la bactérie est digérée et certains des composants bactériens peuvent être présentés en surface de la cellule phagocytaire qui devient alors une cellule présentatrice de l’antigène (CP Ag). Il y a régression de l’infection puis guérison.
- La bactérie résiste à la phagocytose et l’organisme devient porteur sain ou porteur asymptomatique.
- La bactérie survie à la phagocytose elle se multiplie dans le phagocyte et la bactérie détruit le phagocyte.
IV- Les facteurs humoraux
1 – Les molécules du complément
Il s’agit d’une vingtaine de protéines présentes dans le plasma sous forme inactive, elles sont synthétisées dans différents tissus (ex foie, rate), il y a une activation en cascade par la présence de toxine bactérienne ou par la présence d’un complexe Ag-Ac (à réaction spécifique).
a- Activation du complément
Il existe deux façons d’activé le complément, soit par voie alterne et par voie classique (immunité spécifique).
Voie alterne : activation par des molécules des membranes des micro-organismes activent le système du complément.
Voie classique : activation par un complexe [Ag-Ac]
b- Action du complément
Une fois activé, il permet l’accentuation de la réaction inflammatoire mais également la cytolyse des micro-organismes par la formation du complexe d’attaque membranaire CAM (ou MAC en anglais).
Il active aussi la réaction immunitaire non spécifique par opsonisation des particules (= consiste à recouvrir les particules soit des molécules du complément soit d’Ag afin de faciliter sa phagocytose).
2 – L’interféron
L’interféron est une glycoprotéine synthétisée par une cellule infectée par un virus, elle est ensuite libérée par la cellule, elle pénètre dans des cellules saines et elle protège ses cellules en bloquant la multiplication virale.
Les cellules NK (natural killer) complètent cette lutte antiviral et attaquent les cellules infectées par un virus (synthèse de perforines).
3 – Le lysozyme
Le lysozyme est une enzyme sécrétée par les cellules immunitaire, elle est présente dans la salive, les larmes,…, elle hydrolyse le peptidoglycane de la paroi bactérienne en hydrolysant la liaison β 1-4 du NAG et le NAM.
CONCLUSION
La réaction immunitaire innée (non spécifique) est indispensable à la mise en place de la réaction immunitaire spécifique, ex présentation aux lymphocytes de l’Ag par les phagocytes.
CHAPITRE II Les organes, tissus et cellules du système immunitaire
I – Les organes du système immunitaire : les organes lymphoïdes
Il y a deux catégories d’organes lymphoïdes :
- les organes lymphoïdes primaires (centraux)
- les organes lymphoïdes secondaires (périphérique)
1 – Les organes lymphoïdes primaires ou centraux
Les organes lymphoïdes primaires sont le thymus et la moelle osseuse rouge.
a – La moelle osseuse rouge
On trouve la moelle osseuse rouge dans :
- les os plats : sternum, côtes, omoplates
- les vertèbres
- l’épiphyse du fémur et de l’humérus
La moelle osseuse est le lieu où se produit l’hématopoïèse comme par exemple la leucopoïèse (production des globules blancs).
La moelle osseuse rouge est le lieu de maturation des lymphocytes B, c’est l’étape pendant laquelle ils font l’acquisition de récepteur membranaires permettant de reconnaître les Ag, ce récepteur s’appelle le BCR : lymphocyte B Cell Recepteur.
b – Le thymus
Le thymus est localisé derrière le sternum, il repose sur le cœur, très actif pendant l’enfance, il régresse à l’âge adulte.
Il est le lieu de maturation des lymphocytes T . Les LT acquièrent les récepteurs membranaires qui leur permettent de reconnaître le complexe [Ag ||||CMH], le CMH II permet de présenter l’Ag, ce sont des protéines membranaires présentant en surface des cellules présentation de l’Ag (CP Ag) qui sont les macrophages et les granulocytes, elles sont capables de faire la phagocytose. Ils acquièrent d’autre récepteurs membranaires qui caractérisent les différentes classes de LT ( ex LT h = helper, LTc cytotoxique), les récepteur sont appelés CD 4 et CD 8 (cell diferenciation).
2 – Les organes lymphoïdes secondaires ou périphériques
Les organes lymphoïdes secondaires sont la rate, les ganglions lymphatiques, les amygdales, les végétations et les tissus lymphatiques associés aux muqueuses (MALT = muqueuse associated lymphatique tissu). Les organes lymphoïdes secondaires on pour rôle de stocker les cellules immunitaire et de permettre la rencontre entre les Ag et les lymphocytes.
a – La rate
voir fig 2
La rate est composée d’une pulpe rouge qui contient les macrophages et d’une pulpe blanche qui contient les LT, les LB et les CP Ag, elle est organisée en follicules. La rate est irriguée par les artères et veines spléniques. Elle est très irriguée par le sang et elle filtre le sang, en le filtrant elle capte les Ag présent dans le sang et elle capte les GR et plaquettes détériorés qui seront phagocytés par les macrophages et elle stock le fer.
b- Les ganglions lymphatiques
Voir fig 3
Les ganglions lymphatiques sont composés d’un cortex, d’un paracortex et d’une medulla, le tout enfermé dans une capsule, ils sont traversé par des vaisseaux lymphatiques afférent (qui arrivent) et efférent (qui partent).
Les ganglions lymphatiques filtrent la lymphe avant le retour de celle-ci dans le sang. Ils captent les Ag d’origine tissulaire et ils permettent l’activation, la prolifération et la différenciation des L.
Remarque : Tous les organes lymphoïdes secondaires comportent 2 zones :
- zone thymo dépendante (LT)
- zone thymo indépendante (LB)
Les tissus lymphoïdes associés aux muqueuses (MALT) :
- sont riches en LB
- amygdales et végétations pour l’appareil respiratoire
- plaque de Peyer au niveau de l’intestin
- captent les Ag au niveau des muqueuses
II – Les cellules de l’immunité
= immunocytes
1- Les cellules de l’immunité non spécifique
a- Cellules phagocytaires
Les cellules phagocytaires sont des monocytes et des macrophages, elles viennent des mêmes cellules souche qui se transforment en pro monocytes, en monocytes sanguin et en macrophage tissulaire.
- Structure
?— ondulation de la membraneà déplacement
?— nombreux lysomomes et vacuoles
- Rôle
?— phagocytose
?— présentation de l’Ag (CP Ag) aux lymphocytes
?— participe à l’inflammation
Rôles des granulocytes :
* Les granulocytes neutrophiles
- phagocytose
- bactériocides (lysozymes)
- chimiotactisme (complément)
* Les granulocytes éosinophiles
- lutte antiparasite (phagocytose et libération de molécules toxiques pour les parasites)
* Les granulocytes basophiles
- chimiotactisme
b- Autre cellules : cellule NK
Issus de grands lymphocytes, elles ne possèdent pas de récepteurs aux Ag, elles détruisent les cellules infectées et les cellules humorales.
Il y a coopération entre les LB et les LT, ils ne font pas de phagocytose, et possèdent des récepteurs membranaires et des marqueurs membranaires spécifiques.
Les différents LT acquièrent les TCR dans le thymus et se différencient dans les organes lymphoïdes secondaires.
III – Schéma général de la réponse immunitaire
La réaction immunitaire non spécifique est indispensable à la mise en place de la réaction spécifique :
- elle envoie des signaux permettant d’orienter la réponse spécifique selon la nature de l’Ag.
- macrophage : CP Ag par les cellules de l’immunitaire spécifique.
Partie 3 : Maintien de l’intégrité de l’organisme
CHAPITRE I : Présentation générale du système immunitaire
Introduction :
L’immunité c’est l’ensemble des réactions de défense de l’organisme contre les éléments étrangers, appelés antigènes. Ces réactions protègent l’organisme contre :
- les micro-organismes pathogènes
- les cellules cancéreuses
L’ensemble de toutes ces réactions peut être appelé réponse immunitaire, elles ont pour but de neutraliser ou de détruire l’agresseur. Pour cela il est nécessaire de distinguer ce qui fait partie de l’organisme le soi, de ce qui est étranger le nonsoi , qui est reconnu comme antigène.
I- L’identité biologique : le soi et le non soi
Voir doc 6 du TD immuno 1
L’organisme est capable de reconnaître des cellules ou un tissu venant d’un autre organisme comme lui étant étranger et de déclencher une réponse immunitaire comme ces antigènes.
1 – Le soi
Le soi est l’ensemble des molécules et des cellules de l’organisme. L’organisme apprend à les reconnaître pendant la vie embryonnaire, il existe à la surface de toutes les cellules des molécules membranaires des marqueurs du soi, qui sont des glycoprotéines. Il existe deux groupes du marqueur du soi :
- les marqueurs présents sur toutes les cellules nucléées. Ces marqueurs sont codés par des gènes appelés CMH complexe majeur d’histocompatibilité, il existe le CMH I (sur toutes les cellules nucléées) et le CMH II (sur les cellules présentatrices de l’Ag (macrophages, granulocytes)), ce dernier est plus rare.
- les marqueurs des cellules anucléées, qui sont les hématies ils déterminent le groupe sanguin A, B, O (bombay) et ils s’appellent marqueur mineur d’histocompatibilité.
Voir fig 1 et 2
Tous ces marqueurs sont spécifiques de l’individu, de sa famille, de sa race et de son espèce.
La tolérance immunitaire se développe au stade embryonnaire dans le thymus.
2 – Le non soi
Voir fig 3
Le non soi est la cible du système immunitaire, les substances étrangères capable de déclencher une réaction immunitaire sont appelés antigènes.
II- Les différents types d’immunités
1 – Immunité spécifique et non spécifique
On distingue l’immunité spécifique ou non spécifique selon qu’il y a reconnaissance ou non de l’antigène.
a – Immunité non spécifique (=immunité naturelle = innée)
L’immunité non spécifique est l’ensemble des réactions de défense mis en jeu par l’organisme indépendamment de la nature de l’agresseur. Elle ne possède pas de mémoire.
b – Immunité spécifique (= immunité acquise)
L’immunité spécifique est l’ensemble des mécanismes de neutralisation et de destruction dirigé de manière spécifique entre un agresseur ou un antigène donné. L’organisme possède des molécules lui permettant de reconnaître spécifiquement tous les éléments étrangers. L’immunité spécifique possède une mémoire.
2 – Immunité humorale et cellulaire
a – Immunité à médiation humorale
Il s’agit de l’immunité assurée par des molécules circulant dans le sang, elles sont transmissibles par le sérum.
b – Immunité à médiation cellulaire
C’est l’immunité assurée par des cellules, elles sont transmissibles par injection de cellules.
III – Schéma générale de la réponse immunitaire
Si un élément étranger réussit à franchir les barrières naturelles (peau et muqueuse) il se produit une réaction immunitaire en deux étapes : tout d’abord la réaction immunitaire non spécifique (réaction inflammatoire) dont les symptômes sont : des rougeurs, un dégagement de chaleur, des douleurs et des œdèmes. Puis si la réaction immunitaire non spécifique ne suffit pas, alors on a une réaction immunitaire spécifique qui va se mettre en place avec à la fois une immunité cellulaire et humorale.
La réaction non spécifique est indispensable à la mise en place de la réaction spécifique, car la réaction non spécifique envoie des signaux permettant d’orienter la réponse immunitaire spécifique selon la nature de l’Ag et envoie des cellules macrophages qui sont des cellules présentatrices de l’Ag pour les cellules de l’immunité spécifique.
IV – Déséquilibre du système immunitaire
1 – Hypersensibilité et allergies
Certains Ag appelés allergènes peuvent induire chez des sujets sensibilisé des réactions brutales (ex : asthme, eczéma, choc anaphylactique). Une personne devient allergique lors d’un premier contact avec l’allergène, lors de ce premier contact, il y a sensibilisation, la réaction allergique se déroulera lors du second contact.
2 – Immunodéficience
L’immunodéficience est soit innée, on l’a dès la naissance, c’est un problème d’origine génétique, soit acquise suite à une maladie (SIDA), à un cancer ou à un traitement immunosuppresseur (ex : pour une greffe).
3 – Auto-immunité
Il y a rupture de la tolérance immunitaire donc il y aune réponse immunitaire contre des constituants du soi qui sont reconnu comme appartenant au non soi, ex sclérose en plaque, diabète insulinodépendant.
Thursday,19th November
An Eternal Summer Season
The picture : Describe the photograph
* Background a mosque ; architecture ; could be Tunisia ?
- Dark mountains
- blue sky
- minarets
- arid surrownding ; landscape
* Middle ground
- a thick wall (mur)
* foreground
- longchairs / dockchairs
- palmtrees
- tourist (= holiday makers)
- suntanning (bronzer)
- figures lying down
- vivid colours
The coulour photograph represents holiday makers (tourist) tanning in the sun. In the background we can make out (distinguer) a mosque and two minarets. The vivid colours / brights colours in the foreground stand out (contraster) against the dull mountains.
The palm trees create on impression of exotism. The foreground and the background are separated by a thick wall to prevent intrusions.
Conclusion : This photograph was taken in a North African or a Middle-East country. The photographer probably aimed at capturing the contrasting cultures.
The text is going to be about ?
East meets west
The boys : Sami and Han 11 yers old a swimming pool (a hotel)
activities : biking ; creeping (ramper) ; sliping in : se glisser
exotism : palmtrees ; colorful flower
Friday, 20th November
An eternal summer season
The title of this passage is “An Eternal Summer Season”. It’s an extract from a novel called “Crescent”, it evoques the Middle East. It was written by Diana Abu-Jaber.
Thursday, 26th November
An Eternal Summer Season
The two mains characters of this text are Han and Sami, who are eleven. One day, when they were biking, they discovered a swimming pool, they crept into the scrubs, and slipped into the hotel.
The were : surprised
voiceless
amazed
flabberghasted
They discovered women who were “arrayedé in their chair around the edge of the pool. The swimming pool was a “perfect fullmoon of blue water”
The palmtrees contributes to the impression of exotism the colourful flowers, the adventures of simbad and the activities of the women make this text exotic.
This women are from French, German, American origin. They are wives of politicans, diplomats and business man.
Thursday, 3rd December
An Eternal Summer Season
The women around the pool had western names such as Helga, Dee Dee, Magaret. Name of them had a job, they were idle. They spent their time reading, tanning in the sun while their husbands attended conference, business meetings. They were relaxing whereas the women in Han’s village wanted and lesly. They had chones to go through.
Their physical appearance contrasted : in the village they were fat, lig, plum whereas the women at the pool were slander, slim. They looked like models with a perfect figure. They looked younger than their age. Their life was easier than that of the women in the village. And yet they seen loned, they had nothing to do except / but wait for their husbands. Janet, however, seemed different from the others. She was interested in the little boy’s way of life. Han thought the women at the pool led the same kind of life as the women in the village away from their man.
But on second thought, he was not sure when Janet said “No think I live this all the time?”
Rappel : chimie des solutions
I- Les solutions
1- Définitions
Une solution est un mélange homogène obtenu par dissolution d’une ou plusieurs espèces chimiques dans un solvant. Le solvant est un liquide dont la quantité de matière est majoritaire. Le soluté est une espèce chimique solide, liquide ou gazeuse dissoute dans le solvant.
Si le solvant est l’eau, on obtient une solution aqueuse.
2- Les concentrations
- concentration massique
t = ρ = m
v
- concentration molaire
C = n
v
ρ = C x M ó C = ρ
M
3- Concentration des solutions ioniques
Lors de leur mise en solution les solides ioniques sont totalement dissociés en leur ions tant que la solution n’est pas saturée.
ex : Sulfate de sodium Na2SO4 se dissocie en ions Na+ et SO42-
Na2SO4à 2 Na+ + SO42-
Il est necessaire pour définir le contenu d’une solution ionique de distinguer la concentration molaire de solution apportée et les concentration molaire des ions.
C Na2SO4 = n Na2SO4 [ Na+ ] = n Na+ [SO42-] = n SO42-
V V V
| Na2SO4à 2 Na+ + SO42-
|
Quantité de soluté apporté | n 0 0 |
Quantité en solution | 0 2n n |
C Na2SO4 = n
V
Chapitre II : Les glucides
Introduction :
Les glucides ne sont composés que de 3 atomes : C, H, O, ce sont des composés ternaires. Ils ne représentent que 5 % du poids des animaux (contre 70% chez les végétaux).
Chez les animaux ils sont synthétisés par voie d’anabolisme (chez les végétaux par photosynthèse). Les sucres ont différents rôle :
- le rôle énergétique : l’organisme les utilisent soit immédiatement, ce sont les sucres simple (= sucres rapides)ex : le glucose ; soit sous forme de réserve ce sont les sucres complexe (= sucres lents) ex : l’amidon, le glycogène.
- Le rôle structural :ex cellulose, chitine (=exosquelette de certains crustacés ou insectes ex crabe, scarabée).
- Le rôle biologique : lorsqu’ils sont à la surface de certaines cellules, ils servent de signaux de reconnaissances
Ex : - polyosides des globules rouges ils ont différents selon le groupe sanguins.
- polyosides antigénique des bactéries.
Remarque :
Les glucides sont très utilisés dans l’industrie
- dans l’industrie alimentaire, ex : le sirop de glucose, le caramel
- dans l’industrie du papier avec la cellulose
- dans l’industrie plastique
- pour certain explosif
Définition :
Les glucide sont des polyhydroxyaldéhydes ou polyhydroxycétones. Ils possèdent plusieurs fonctions alcool donc groupement hydroxyde OH et une seule fonction aldéhyde ou cétone.
La classification des glucides se fait grâce à leurs comportement faiblement acide et à chaud.
Classification simplifiée des sucres
On distingue également les glucides en fonction du même nombre de résidus d’oses qui les composent :
- 2 à 20 résidus d’osesà oligosides
- < 20 résidus d’osesà polyosides
I- Les oses (= monosccharides) structure et propriété
O
?•'
à fonction aldéhyde - C ?"€ H aldose
O
?•'
à fonction cétone - C ?"€ cétose
La classification tient compte de la fonction aldéhyde et de la fonction cétone mais également du nombre de carbone. Les sucres les plus simples contiennent :
- 3 C se sont les trioses
- 4C se sont les tétroses
- 5 C se sont les pentoses
- 6 C se sont les héxoses
4C + aldéhydeà aldotétrose
C + cétoneà cétohéxose
1- Formule brute des oses
Glucose : C = 40% H = 6.67% O = 53.33%
Mglc = 180 g.mol-1
nbr C = % C x Mglc nbr H = %H x Mglc
MC MH
nbr C = 40 x 180 nbr H = 6.76 x 180
100 x 12 100
nbr C = 6 nbr H = 12
nbr O = % O x Mglc
MO
nbr O = 53.33 x 180 => C6H12O6
100x 16
nbr O = 6
Formule brut de tous les glucides : CxH2xOx
2- Formule semi-développée
ex du glucose
H H H H H H
?"' ?"' ?"' ?"' ?"' ?"'
O ?• C ?"€ C ?"€ C ?"€ C ?"€ C ?"€ C ?"€ H
?"' ?"' ?"' ?"' ?"'
OH OH OH OH OH
Numérotation des carbones
O H H H H H
?•' ?"' ?"' ?"' ?"' ?"'
H ?"€ C1?"€ C2* ?"€ C3*?"€ C4* ?"€ C5* ?"€ C6* ?"€ H
?"' ?"' ?"' ?"' ?"'
OH OH OH OH OH
Carbone asymétrique
glucoseà 4C *
24 = 2 x 2 x 2 x 2 = 16
n = nbr de C*
2n = nbre d’isomère
Les isoméries sont des molécules qui ont la même formule brut mais une formule développée et semi-développée différentes.
Exercice 1
nbr de cétohexoses différent ?
H H H H H
?"' ?"' ?"' ?"' ?"'
HO ?"€ C ?"€ C ?"€ C* ?"€ C* ?"€ C* ?"€ C* ?"€ H
?"' ?•' ?"' ?"' ?"' ?"'
H O OH OH OH OH 8 isomères
Les glucides sont représentés en respectant la projection de Fischer, pour cela il faut respecter 3 règles :
- la chaîne carbonée doit être verticale
- la fonction réductrice (cétone / aldéhyde) est représentée en haut
- on va déterminer la série du glucide à partir de la fonction alcool portée par le carbone asymétrique le plus éloigné de la fonction réductrice, si la fonction est à droite la chaîne de glucide est de la série D, si elle est à gauche, il est de la série L.
Représentation d’un aldohexose série D
O
?•'
H ?"€C
?"'
H ?"€ C ?"€ OH
?"'
H ?"€ C ?"€ OH
?"'
HO ?"€ C ?"€ H
?"'
H ?"€ C ?"€ OH
?"'
OH ?"€ C ?"€ H
?"'
H
II- Les bactéries (doc 3)
Le document 3 présente un bacille cependant l’ultra structure de la cellule bactérienne est la même que pour les coques.
Les éléments constants d’une cellule bactérienne sont ceux qui sont trouvés dans toutes les espèces : le chromosome, le cytosol, la membrane plasmique, la paroi, les ribosomes ; les autres éléments sont des éléments facultatifs : les pilis, la capsule, le flagelle (cils) et les plasmides ; ils ne sont trouvés que chez certaines espèces. Il s’agit d’une cellule procaryote car elle n’a pas de noyau ni d’organite.
III- Les virus (doc 4)
Les virus sont des organismes acellulaire, ce sont des assemblages de molécules, les virus les plus simple sont constitués d’un acide nucléique enfermé dans une coque de protéine (la capside).
Selon les espèces les virus sont soit de forme hélicoïdal (doc a) soit de forme cubique (doc b).
Certains virus sont en plus entouré par une enveloppe de nature lipidique avec des protéines virale incluse appelées spicules (doc b).
IV- Distinctions entre les cellules eucaryotes et les cellules procaryotes
Pour les micro-organismes, les différences sont structurales mais aussi au niveau de la division cellulaire :
- les cellules procaryotes ne présentent pas de compartimentation interne (pas de noyau ni d’organites)
- Elles ne possèdent qu’un seul chromosome circulaire tandis que les cellules eucaryotes possèdent plusieurs chromosomes linéaires
- Les cellules procaryotes sont généralement plus petites que les cellules eucaryotes
- Les cellules procaryote se divise par un processus appelé scissiparité (ou fission binaire) : la cellule se divise en deux parties égales après avoir répliqué son chromosome, pour les cellules eucaryotes la division est plus complexe, plus longue et peut être sexuée ou asexuée.
V- Conclusion
La microbiologie concerne l’étude d’organisme très nombreux et très varié, c’est pourquoi seul les espèces d’intérêt médical ou industriel sont étudiées, cela veut dire que de très nombreuses espèces restes peu connues ou même inconnues.
Lois générales du courant continu
I- Le courant électrique
Le courant électrique est un déplacement d’électrons dans un conducteur solide (généralement des métaux). En solution le passage du courant électrique est assuré par un déplacement d’ions. Le sens conventionnel du courant électrique est le sens inverse des électrons.
1- Intensité du courant électrique
L’intensité du courant électrique et la quantité de courant électrique qui traverse une section du circuit pendant une unité de temps, c’est un débit de charges.
qe- = - 1,6.10-15C
Q = nbr e- x I q e- I
?†— ?†–
C C
C
?†™
I= Q
Δ T
?†— ?†–
A s
L’intensité du courant se mesure en ampère avec un ampèremètre placé en série dans le circuit.
2- La tension électrique
Analogie hydraulique
Pour qu’il y ait un courant entre les réservoirs A et B, il faut qu’il y ai une différence de hauteur entre A et B, c'est-à-dire une différence d’état entre A et B.
De même en électricité pour qu’il y ait établissement d’un courant électrique entre un point A et un point B, il faut qu’il y ait une différence électrique entre ces deux points. Cette différence est appelée différence de potentiel en tension électrique. La tension se mesure en volt avec un voltmètre placé en dérivation ou en parallèle aux bornes A et B.
UBA = -UAB
II- Loi des nœuds
Un nœud est l’intersection d’au moins trois fils. La portion de circuit entre deux nœuds s’appelle une branche.
La somme des intensités qui arrivent à un nœud est égale à la somme des intensités qui en ressortent.
I1 + I5 = I2 + I3 + I4
III- Loi des mailles
Une maille est une portion de circuit fermée. On oriente la maille avec un sens de rotation arbitraire, la somme des tensions prises dans le sens de rotation choisie sur l’ensemble de la maille est nulle.
Maille (PABCN)
-UPN + UAB – UCB = 0
Maille (PACN)
+UPN + UCA = 0
Ou UPN – UAC = 0
Maille (ABC )
UAB – UAC – UCB = 0
Remarque :
Lors de l’application de la loi, les tensions qui ne sont pas dans le sens de rotation choisie seront prises négativement.
TD 1 : Explication de texte : Malebranche partie 1
Malebranche -> 17ème siècle contemporain de Descartes
- Recherche de l’idée essentielle
L’idée essentielle est l’idée que l’auteur cherche à justifier, à démonter = la thèse
- Expliquer le texte
Cela revient à expliquer la pensée de l’auteur, à expliquer l’idée essentielle.
Malebranche pense que la connaissance scientifique de la nature est peu utile pour l’homme car elle ne vous apporte ni le bonheur ni la sagesse. En effet les sciences de la nature ne répondent pas à la question comment vivre pour être heureux et elles ne répondent pas non plus aux questions fondamentales sur l’homme et le monde. Elles nous permettent de faire des découvertes sur la nature mais ne nous explique pas le sens de l’existence humaine, pour cela il faut étudier la science de l’homme.
La science de l’homme n’est rien d’autre que la philosophie parce que c’est elle qui s’interroge sur le bonheur, comment être heureux, etc …
- Recherche du plan
Cela revient à expliquer l’argumentation et la structure logique, le raisonnement.
L 1-3 : L’auteur donne la 1ère partie de sa thèse « l’homme n’est pas fait pour la connaissance scientifique de la nature ». Ensuite il explique ce qu’est les sciences de la nature : « observation laborieuse -> tirer des conclusions de ces observation » : c’est le raisonnement.
Exigences communes aux cours d’Anglais
I- Matériels et comportements
- Un livre par élève ainsi qu’un cahier ou d’un classeur
- Au bout de trois oublis l’élève est collé
- Tout élève perturbateur fera l’objet d’un rapport écris avec transmission aux CPE, au proviseur et aux parents
II- Travail personnel à la maison
- D’un cours à l’autre apprendre par cœur la leçon
- Faire les exercices écris
III- Interrogation écrite
- Plusieurs fois par trimestre il y aura un devoir d’une avec révision ou pas
- Tests surprises de 10 min
IV- Evaluation à l’oral
- Il y aura une note d’oral par trimestre
V- Moyenne trimestrielle
- Une seule moyenne
- Plusieurs coefficients
DM : 1
Exo ramassés : 1
DS : < 1
VI- Absences
- Reprendre les cours
- Absence à un devoir avec motif, on peut refaire un devoir
VII- Attitude
- Plus d’élèves vautrés dans les couloirs
- Pas de portable
- Pas de mp3 ou semblables